Les péripéties de Julius Corentin Acquefacques (anagramme de Kafka) permettent à Marc-Antoine Mathieu de construire un univers absurde en noir et blanc. Le lecteur navigue constamment entre les rêves du héros et un monde imaginaire sans limites.
Le dessin, qui exprime quelque chose de très logique, combiné à l'utilisation ingénieuse de la planche, permet de créer des situations complètement loufoques qui s'emboîtent les unes dans les autres. La créativité visuelle poussée à son extrême. Découvrir





