Un Général, des généraux nous plonge en mai 1958 lors du putsch d'Alger. Le dessin à la limite de la caricature de François Boucq rend les personnages parfois loufoques. Mais ne vous y trompez pas, le scenario de Nicolas Juncker est resté fidèle à l'histoire (même si c'est difficile à croire). Les compères, associés à Alexandre Boucq et Michel Brun pour l'encrage et les couleurs, nous tiennent en haleine du début jusqu'à la fin. Une BD à la fois drôle et profonde sur une page clef, mais souvent occultée de notre histoire. Découvrir


